Sachant que tout ce qui ne s’exprime pas s’imprime, il est souhaitable de favoriser l’expression au-delà de l’émotion, ou du retentissement. Cette pratique permettra d’éviter quelques somatisations, du stress et de l’angoisse.
Jacques Salomé
`De l’anglais stress (« effort intense »), lui-même issu en partie de la réduction du moyen français destresse (« contrainte, affliction, détresse ») et en partie du vieux français estrece (« étroitesse, oppression » → voir étreindre et étrécir), du latin stringere (« serrer, comprimer, resserrer »)
Le stress est une tension nerveuse provenant d’une réaction à notre environnement ou de notre mode de pensée et qui engendre des perturbations biologiques et psychiques en éveillant des tensions :
• sur le plan physique : inconfort/ douleur/ malaise/ respiration saccadée/ fatigue persistante
• mental : nervosité/ inquiétude / pensées confuses parfois obsessionnelles /projections mentales/ insomnie
• et/ ou émotionnel :peur/ culpabilité/ colère
Être en état de stress génère beaucoup d’énergie et à pour conséquence de fragiliser l’ensemble de notre système.
Le stress peut naître d’un sentiment d’impuissance générant un état de révolte contre ce qui n’est pas conforme à ce que nous voulons. C’est alors l’état de résistance qui fait vivre du stress, une sorte de combat intérieur entre deux parties qui veulent gagner en soi ou d’une non acceptation de ce qui est.
Une accumulation de stress est à prendre au sérieux car les répercussions peuvent être très nuisibles et engendrer un état dépressif, ou autre forme de craquage lorsque la personne accumulant trop de stress a atteint sa limite.
Les causes de stress sont nombreuses voir omniprésentes autour de nous, tout changement, même un événement dit ‘heureux’ ( mariage/naissance…)cause du stress. Aussi il est important d’apprendre à le gérer, à développer sa capacité d’adaptabilité en restant centré et serein.
L’effet de toute circonstance, de toute action ne dépend que de l’attitude que nous avons à leur égard.
Être asservi par les choses extérieures, c’est donner une importance excessive aux circonstances, et augmenter leur faculté de se multiplier. Alors que faire prévaloir la force intérieure par opposition au pouvoir des circonstances extérieures apporte une forme de détachement des circonstances et développe la capacité de présence intérieure.
Ainsi, lorsqu’on lâche prise, on utilise son énergie à construire plutôt qu’à détruire.
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