Un mot prononcé avec bienveillance engendre la confiance. Une pensée exprimée avec bienveillance engendre la profondeur. Un bienfait accordé avec bienveillance engendre l’amour.
Lao-Tseu
La relaxation, synonyme de technique anti-stress et de détente dans le langage courant, est une pratique aux multiples bienfaits.
Elle peut se définir comme la recherche volontaire d’un état de relâchement sur le plan physique et mental.
La relaxation est aussi un temps d’ouverture aux dimensions subtiles, que la pratique du yoga a rendues accessibles.
La relaxation a des effets bénéfiques pour soigner ou prévenir le stress, les douleurs musculaires liées aux tensions nerveuses, l’anxiété, les troubles digestifs ou l’insomnie.
Véritable repos réparateur, elle permet de « recharger ses batteries » aussi efficacement qu’une sieste, dans un état de lâcher-prise différent. L’objectif n’est pas de s’endormir, mais de se détendre tout en restant éveillé.
Cet état dit » sophro-liminal » (entre veille et sommeil) engendre une libération d’endomorphine, de sérotonine et de dopamine (hormones « du bien-être ») et une prédominance des ondes alpha favorables à l’équilibre psychique. Il agit très favorablement sur le système immunitaire.
Quand nous maîtrisons l’art de la relaxation, nous possédons une clef de la santé, de la vitalité et de la paix intérieure.
Art de bien parler. Technique de la mise en œuvre des moyens d’expression. Technique de discours. Outil de manipulation dans la communication. Il existe un dictionnaire des figures de rhétorique qui sont très nombreuses. Voici quelques figures :
• Syllogisme : Raisonnement de base en trois parties proches d’une évidence.
Ex : « Les tableaux de maîtres se vendent cher. C’est un tableau de maître. Il se vendra cher. »
• Ellipse : Raisonnement raccourci asséné comme une vérité. Ex : « Quand on est fort dans sa tête, on gagne. »
• Paradoxe : Il a vocation à surprendre . Ex : « Méfiez vous des petits. »
• Sphisme : Raisonnement faux et apparemment logique
« Notre entreprise paye bien, et comme l’argent fait le bonheur, vous serez heureux chez nous. »
• Réticence : Omission volontaire, ne pas dire et impliquer l’autre comme un complice. Ex. :
«Vous voyez très bien ce que je veux dire. », « ne faîtes pas semblant de ne pas comprendre. »
• Chiasme : Croisement des termes. Ex : « Il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger. »
• Prolepse : Prévient l’objection en la réfutant d’avance. Ex. : « Je ne suis pas d’accord, parce que personne ne peut l’être. »
• Dilemme : Raisonnement qui contient deux alternatives impliquant un choix impossible et arrivant à une même conclusion. Ex. : « Vous êtes bêtes ou vous le faites exprès ? »
• Litote : Elle permet d’atténuer (avec ou sans humour). Ex : « Ce n’est pas mauvais. » « Ce n’est pas rien. »
• Métaphore : Elle transfère le sens par substitution analogique. Ex :« Je vais l’écraser comme une punaise. »
Elle détermine la bonne émission de la voix.
Elle permet la détente musculaire et nerveuse.
Elle est nécessaire pour vivre et faire vivre son discours.
Trois grands types de respirations :
• Claviculaire : Gonflement de la cage thoracique et élévation des épaules. C’est la respiration dite « haute », celle que nous utilisons quand on nous dit de respirer « à fond » chez le médecin. Elle peut bloquer la voix et générer du stress.
• Thoracique : Ouverture de la cage thoracique par l’élargissement des côtes et le gonflement de la poitrine. C’est la respiration la plus connue, utilisée par la plupart des sportifs amateurs.
• Abdominale : Entraînez-vous, c ‘est la bonne. Abaisser le diaphragme et détendre les muscles abdominaux. Cette respiration se découvre facilement si l’on s’allonge sur le dos en plaçant une main sur le ventre. Lors de l’inspiration : la main est soulevée, le ventre se gonfle, puis se creuse à l’expiration. C’est la respiration idéale pour la voix chantée et parlée. Elle permet en plus de gérer le stress.
« l’amour naît d’un regard et en un regard, c’est la durée d’un éclair. »
George Sand
« Le regard ne s’empare pas des images, ce sont elles qui s’emparent du regard. Elles inondent la conscience. »
Franz Kafka
« Intimer un ordre c’est intimider un regard. »
Napoléon Bonaparte
« Que l’importance soit dans ton regard, non dans la chose regardée ! »
André Gide